1. Fais le point sur tes qualités
Tout le monde a des qualités. Alors commence par prendre une feuille et un stylo et note tes qualités ; selon toi mais aussi selon tes proches.
N’hésite pas à demander à ton entourage ce qu’il aime chez toi.
Une fois ces qualités notées, penses-y quand tu commences à te dévaloriser.
De cette manière tu commenceras à modifier tes pensées.
Si tu n’arrives pas à trouver de qualités, part de tes défauts et voit le revers de la médaille ; qui lui est positif.
Par exemple : « on me dit que je suis « chiant(e) » parce que j’aime que tout sois « carré ». Mais tout le monde veut se mettre avec moi pour les dossiers de groupe car ils savent que le travail rendu sera impeccable ».
2. Détache-toi de ton passé !
Peut-être dans le passé as-tu été critiqué(e)mm, ou as-tu échoué (par exemple en maths) ?
C’est du passé !
On a tous tendance à penser que ce qui nous est arrivé une fois se reproduira. Ça s’appelle de la « surgénéralisation » et c’est faux !
Au contraire, on peut penser que ce que nous avons raté peut nous permettre de ne pas refaire les mêmes erreurs, de s’en instruire !
Alors laisse le passé derrière toi et avance, rien n’est figé : le changement c’est maintenant !
3. Ose le premier pas
Le plus dur, c’est le premier pas vers les choses qui nous stressent.
N’attends pas le bon moment, tu auras toujours une excuse pour ne pas essayer.
Alors fonce, affronte tes peurs ! Et puis même si c’est difficile la première fois, en répétant les essais, ça deviendra plus facile. Comme on dit : « doucement mais sûrement ! ».
En sortant de ta zone de confort (la bulle qui t’entoure et dans laquelle tu es si bien), tu seras surpris de tout ce dont tu es capable ! Sache que plus on évite ce qui nous fait peur, et plus on en a peur ! À l’inverse en essayant, on fait des expériences positives qui nous montrent qu’on peut y arriver et ça améliore sa confiance en soi.
4. Après le premier pas, avance à petits pas !
Une fois le premier pas fait, avancer à petits pas permet de ne pas se décourager.
Si tu manques de confiance en toi dans un domaine, vas-y doucement !
Par exemple, si tu as peur de ne pas assurer à l’oral, commence par t’entraîner seul, puis avec un proche, puis deux, etc., jusqu’à être plus en confiance face à des inconnus. De cette manière tu t’habitues doucement et tu as de moins en moins peur.
Pour la confiance en soi, mieux vaut une petite victoire qu’une grosse déception !
5. Observe les autres
Mais comment font-ils pour être si à l’aise ?
Prends-en de la graine : les autres ont beaucoup à t’apporter.
Mais attention, ne te compare pas, personne n’est pareil !
Il s’agit plutôt de piocher chez chacun les qualités ou compétences que tu aimerais développer.
6. Adapte ton attitude
L’attitude (manière d’être, de se tenir, de se comporter) traduit souvent ce que la personne pense d’elle-même.
Par exemple, une personne qui n’a pas confiance en elle va avoir tendance à fuir le regard, baisser la tête, parler doucement, etc.
Mais ça marche aussi dans l’autre sens ! Se mettre dans la bonne posture véhicule de la confiance en soi ! Alors n’hésite pas : souris, parle lentement, tiens-toi droit, regarde les personnes dans les yeux, soigne ton look, améliore ta communication, etc. La confiance en toi suivra !
7. Pense positif et relativise
Le manque de confiance en soi vient souvent du fait que l’on pense toujours au pire.
Par exemple, pour un oral, on s’imagine qu’on va bafouiller, ne pas arriver à répondre aux questions. Ces pensées sont souvent irrationnelles (personne ne peut lire dans l’avenir) et traduisent plutôt nos peurs que la réalité.
Sache que plus tu penses de cette manière, plus ta confiance diminue, et ce que tu redoutes risque d’arriver.
Alors remplace tes pensées négatives comme « je suis nul, moche, incapable » par des pensées positives : imagines-toi en train de réussir par exemple. Dis-toi « je suis le meilleur, tout me réussit, rien ne peut m’empêcher d’y arriver ! ».
Il ne s’agit pas d’une formule magique, qui, par le simple fait de la dire exauce tes vœux, mais ça permet d’avoir plus confiance et d’être plus « performant » face aux situations qu’on redoute.
Tu peux aussi noter tous les arguments qui font que ça peut bien se passer, des arguments concrets, ça t’aidera à relativiser !